Photos du moment.
À tous et à toutes, une bonne année replie de bonheur, de projets, de découvertes, toujours en santé.
Malgré le froid, je me suis rendu près de la rivière des Outaouais, à deux pas de chez moi. Je voulais voir le premier coucher de soleil de la nouvelle année, et en capturer les lumières. On voit ici la ville d’Ottawa au loin. Dès que le soleil a été couché, la température à descendu de quelques degrés supplémentaires, ce qui m’a convaincu de rentrer au chaud.
Depuis que je suis retournée au travail à la fin du mois de septembre, c’est la panne. J’ai produit une belle image. En 40 jours. Je sais, calculer l’inspiration en jours écoulés c’est adopter un regard sévère sur ma production. Mais je ne ressent pas la satisfaction de cet été, quand je produisais des images qui me plaisaient sur une base régulière.
Toutes sortes d’excuses peuvent être cités. Manque de temps, travail exigent, manque de lumière (comme si le trépied n’existait pas), etc.
Dans ce billet, je vous présente donc une image tirée de la production de 2007. Aujourd’hui, c’est le premier jour d’un congé de 4 jours. Je me lance le défi de créer au moins une belle image.
Que c’est beau le vieux Québec! Nous nous sommes rendu dans la ville pour la fin des festivités d’étés du 400e et nous avons eu la chance de voir une des dernières représentations du Moulin à images de Robert Lepage.
Cette photo a été prise sur le quai du traversier Québec-Lévis, une prise de vue intéressante à la pénombre, on dirait presque le château de Dracula.
Il est bon de faire relâche, de prendre une pause. Pour la deuxième année de suite, je me réserve de longues vacances. Plusieurs semaines. L’expérience de l’an dernier m’a permis de me retrouver, de voir les gens que j’aime, de prendre le temps de faire les choses qui me tiennent à cœur.
Cette année, je m’en promet autant. Les vacances ont commencés par une fin de semaine de camping dans le parc du Mont Tremblant. Nous étions un petit groupe seuls sur les rives d’un lac, seuls au monde.
Lorsqu’un photographe photographie une scène de nuit, il doit toujours faire le choix de sacrifier les nuances sombres ou les nuances claires. Avec la magie de l’informatique, d’autres options sont maintenant disponibles. On peut avoir le beurre et l’argent du beurre. Donc dans la photo suivante (qui est encore prise de la chambre d’hôtel à Toronto) on peut voir les détails du ciel, qui était très sombre, et les nuances du centre Rogers qui était éclairé.
L’avantage d’une tel technique est qu’elle représente mieux ce que le cerveau humain voit.
