Photos du moment.
C’est le nom que j’associe à cette fleur. En fait, c’est plutôt un trille blanc.
Dans mon enfance, elle était associée au déménagement vers le chalet. Je quittais la ville pour profiter de la tranquillité et de l’abondance de la campagne.
À l’opposé, cette fleure ne tolère pas de se faire déraciner et se flétrit dans les heures qui suivent. Quel dommage.
Trouvé dans un resto de campagne, rustique, un échiquier fait à la main. Chaque case un centre d’arbre qui témoigne du passage des années.
Marche sur le terrain de golf Château Cartier à Gatineau, secteur Aylmer. Le but était de prendre l’air, de profiter de notre samedi après-midi. On avait apporté nos raquettes, mais elles n’ont pas été nécessaires; il n’y avait pas assez de neige. Proche de la rivière des Outaouais, il y avait des motifs intéressants dans la glace. J’ai eu le temps d’explorer le potentiel photographique de la glace pendant que mon compagnon essayait de trouver des balles de golf dans le ruisseau. Il en a trouvé 19!!
Petit dimanche matin tranquille, je sors mon appareil photo pour profiter de la lumière du matin sur ma plante éléphant.
Cette plante m’a été offerte par mon professeur Montessori de 1-2-3e année. Une femme formidable à qui je pense souvent, Monica a été une influence importante dans ma vie. Je l’ai revu il y a quelques années et elle et Anne, mon professeur Montessori de maternelle, m’ont offert cette plante pour célébrer l’achat de ma première maison. J’imagine qu’Anne et Monica éprouvaient une certaine fierté de voir une de leurs élèves grande et autonome.
Adam a soigneusement pris soin de ma plante depuis plusieurs années. Seule avec moi, cette plante serait sûrement morte. 😉
Petite note sur l’internet : je n’avais pas fait de publication sérieuse depuis plusieurs années et j’ai découvert dans les dernières semaines que le web a beaucoup changé; entre autre, les possibilités extraordinaire des gadgets et de iGoogle. C’est fameux!
Sur la rivière Coulonge, à la chute à l’ours, en fin de journée, la vapeur s’élève entre les arbres, signe que le sol humide est plus chaud de l’air qui refroidit.
C’est en 1984 que les derniers draveurs y ont flotté du bois. Les barrages qui contrôlaient le niveau d’eau de la rivière en amont sont maintenant tous ouvert, ce qui a abaissé le niveau d’eau des lacs, source de la rivière.
Malgré quelques billots, la rivière semble revenue à un état naturel. Par contre, à 300 m de chaque rive, les zones de coupe commencent. Il faut se méfier des apparences de nature vierge, elles sont souvent trompeuses.
