Une belle fin de semaine dehors à marcher. Dans le parc, à observer la nature, le calme. En ville, parmi les autos et les cyclistes.
Quelle belle façon de profiter du printemps!
Ski
Superbe journée de ski de fond dans la parc de la Gatineau. Pas trop froid, pas de vent, beau soleil, compagnie agréable, pistes entretenues, une journée idéale quoi.
On peut voir ici le muret du belvédère Étienne-Brulé.
Post-production
Des fois, il se passe beaucoup de temps avant que je développe mes photos. Même si la chambre noire n’entre pas dans le processus, il y a maintenant la chambre blanche (Adobe Lightroom) qui donne le même genre de flexibilité.
Donc, j’ai revu mes photos d’Indianapolis avec un œil nouveau. Voici une de mes découvertes. On peut y voir les meilleurs coureurs de moto au monde, à la file indienne, sous la pluie.
Automne
Ça y est, l’automne est bien installé dans le paysage. Encore quelques coup de vent et les arbres seront dépouillés de leurs feuilles. Les cyclistes en profitent avant l’arrivée de la neige et du froid.
Sur ce cliché, on peut admirer la beauté du parc de la Gatineau, vu du belvédère Étienne-Brûlé. Au loin, on aperçoit la rivière des Outaouais.
Flashback
Il fut un temps où je passait plusieurs de mes fin de semaines d’été à la piste de course de moto, avec tout ce que cela peut entraîner. Les préparatifs de la fin de semaine, remplir l’auto et partir après le travail le jeudi soir. Une fin de semaine de camping, beau temps mauvais temps. L’inquiétude de voir son conjoint courser.
Mais j’avais sous les yeux un spectacle impressionnant. L’esprit de communauté faisait que je connaissais de près ou de loin la majorité des compétiteurs. Regarder une course était d’autant plus excitant. J’ai rencontré beaucoup de gens ordinaire qui avaient le courage de courser sur une motocyclette quand le lundi matin ils devaient retourner travailler. Pour certains, une blessure aurait signifié une perte financière importante. J’ai vu des gens s’acharner malgré les mauvaises performances, les cartes de crédit pleines et les blessures.
Les compétiteurs qui gagnent leur vie à courser ont certainement du mérite, mais les compétiteurs du dimanche n’ont rien à leur envier de ce côté.
